Courbevoie est une commune française, située dans le département des Hauts-de-Seine dans la banlieue ouest de Paris, sur la rive gauche de la Seine.
Le quartier de la Défense, principal quartier d’affaires de Paris, s’étend en partie sur Courbevoie (le reste étant partagé entre les communes de Puteaux, Nanterre et la Garenne-Colombes).
Courbevoie, siège de la Société nautique de la basse Seine, a accueilli les épreuves d’aviron, de natation et de water-polo des Jeux olympiques d’été de 1900. Le crawl y fut nagé pour la première fois aux Jeux olympiques.
Pays : France
Région : Île-de-France
Département : Hauts-de-Seine (92)
Arrondissement de Nanterre
Deux cantons : Courbevoie Sud (54 959 habitants) et Courbevoie Nord (32 679 habitants)
Code postal 92400
Intercommunalité : Communauté d’agglomération Seine-Défense (Courbevoie – Puteaux)
Courbevoie est jumelée avec :
• Freudenstadt (Allemagne) depuis 1961
• Enfield (Royaume-Uni) depuis 1993
Gentilé : Courbevoisiens, Courbevoisiennes
Maire : Jacques Kossowski (UMP)
Majorité : UMP (Union pour un Mouvement Populaire)
Opposition: PS-EELV-Les Verts – PC, Modem
Démographie
Population : 87 638 hab. (2009)
Densité : 20397 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 53′ 52″ Nord 2° 15′ 11″ Est
Altitudes minimum : 25 m — maximum : 56 m
Superficie 4.17 km²
Localisation de Courbevoie en Île-de-France
Courbevoie est située en proche banlieue ouest de Paris, à deux kilomètres des limites de la capitale. Elle s’étend sur la rive gauche de la Seine, du quartier de la Défense au sud, qui occupe une partie de son territoire, à Asnières-sur-Seine, au nord. Elle est également limitrophe des communes de La Garenne-Colombes et Bois-Colombes au nord, Levallois-Perret à l’est, Neuilly-sur-Seine au sud-est, Puteaux au sud-ouest et Nanterre à l’ouest.
Transports en commun
La commune a deux gares implantées sur son territoire :
• la gare de Courbevoie
• la gare de Bécon-les-Bruyères
Autrefois, la Halte de Courbevoie Sport permettait de desservir le cynodrome.
• La gare de La Défense, sur la commune limitrophe de Puteaux, dessert la partie nord-ouest de Courbevoie, notamment le quartier Faubourg de l’Arche.
• La gare d’Asnières-sur-Seine, bien que sur la commune voisine, dessert la partie nord-est de Courbevoie, souvent appelée Bécon-Asnières.
À en juger par son nom, la station de métro Pont de Levallois – Bécon, située de l’autre côté de la Seine, sur la commune de Levallois-Perret, a aussi pour vocation de desservir le quartier de Bécon de Courbevoie.
Enfin, Courbevoie bénéficie d’un accès direct aux importants réseaux de transport qui desservent le quartier d’affaires de la Défense :
• Métro 1 : Esplanade de la Défense, Grande Arche de la Défense
• RER A : La Défense
• T2 (Tram) : La Défense
• Transilien : La Défense
• Bus
La ville de Courbevoie est divisée en cinq quartiers :
• Le Faubourg de l’Arche
• Marceau-République
• Bécon
• Hôtel de Ville
• Gambetta
Toponymie
Le nom de Courbevoie est mentionné sous la forme latinisée Curva Via en 850 et n’est probablement pas antérieur à l’époque mérovingienne. Il se réfère à un coude de l’ancienne voie Paris-Rouen, d’après Albert Dauzat et Charles Rostaing. Cette mention se retrouve d’ailleurs dans la devise inscrite sur les armoiries de la ville : Curva via mens recta (« voie courbe, esprit droit ») dont l’empereur romain Antonin le Pieux serait l’auteur.
Histoire
Au départ, Courbevoie était un petit hameau de pêcheurs et de vignerons. Au VIIIe siècle, le village dépendait de l’abbaye de Saint-Wandrille (en Seine-Maritime, près de Caudebec-en-Caux); puis passa sous le contrôle du clergé de Saint-Denis au XIIe siècle. Par la suite, il dépendra de la paroisse de Colombes jusqu’en 1787.
En 1606, alors que le roi Henri IV et la reine Marie de Médicis revenaient de Saint-Germain-en-Laye, ils empruntèrent le bac permettant de traverser la Seine pour regagner Paris. Le carrosse royal tomba à l’eau. À la suite de ce « naufrage », Henri IV chargea Sully de construire un pont à l’emplacement de l’actuel pont de Neuilly. Le pont initialement en bois fut reconstruit en pierre au XVIIIe siècle par Jean-Rodolphe Perronet, ingénieur du roi. En 1938, il fut remplacé par un pont métallique achevé en 1946.
Avant la Révolution, il existait à Courbevoie, un couvent dit des Pénitents, fondé en 1658, par Jean-Baptiste Forne. Il y avait un château et une superbe caserne construite sous Louis XV pour loger les Gardes suisses. En 1814, le gouvernement provisoire fit établir dans la caserne de Courbevoie un hôpital militaire destiné aux blessés des puissances alliées.
C’est par ce pont que passa le 14 décembre 1840 le cortège ramenant les cendres de Napoléon Ier depuis l’île Sainte-Hélène jusqu’aux Invalides. Par ailleurs, jusqu’en 1914, un tramway à vapeur passait sur le pont.
Jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, Courbevoie était un village de quelques centaines d’habitants. À la fin des années 1730, Courbevoie devient une ville de garnison. Le village voit alors sa population doubler. Des ouvriers, des artisans et de nombreuses petites entreprises s’y installent. Parallèlement, jusqu’à la fin du XIXe siècle, la culture des vignes restera une activité importante de Courbevoie.
La ville acquiert son autonomie en 1790 et devient un chef-lieu de canton en 1829. Alors que Courbevoie comptait moins de 1500 habitants à la fin du XVIIIe siècle, la population va augmenter très rapidement au cours du siècle suivant, atteignant 25000 habitants à la fin du XIXe siècle en raison du développement de l’artisanat, de l’industrie et des moyens de transports (notamment du chemin de fer).
Au cours du XXe siècle, la première et la Seconde Guerre mondiale vont profondément marquer la ville qui va connaître d’importants dégâts et de nombreuses victimes du fait des bombardements.
Après la guerre, avec l’aménagement du quartier de la Défense, l’activité économique de Courbevoie connaît un accroissement notable. Dans le même temps, une vaste opération d’urbanisme est engagée pour transformer la ville en quartiers modernes avec de nombreux logements, des commerces, des équipements publics, des infrastructures sportives et culturelles. Peu à peu, Courbevoie est passée du statut de ville industrielle à celle de ville à vocation tertiaire.
Fin 2010, la Ville met au point un projet de réaménagement des rives de Seine à hauteur du quartier de la Défense, entrainant la couverture de la route départementale 7 (quais de Seine).
Démographie
En 2008, Courbevoie comptait 85 054 habitants (soit une augmentation de 22,1 % par rapport à 1999). La commune occupait le 50e rang au niveau national, alors qu’elle était au 63e en 1999, et le 3e au niveau départemental sur 36 communes.
La population de la commune est relativement jeune. Le taux de personnes d’un âge supérieur à 60 ans (15,2 %) est en effet inférieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (17,7 %). À l’instar des répartitions nationales et départementales, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (52,5 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).
Enseignement
Courbevoie est située dans l’académie de Versailles.
La ville administre 24 écoles maternelles et 15 écoles élémentaires communales. Il y a 5 collèges et 3 lycées.
Il y a aussi 2 écoles maternelles, une école élémentaire, un collège et un lycée privés sous contrat.
Enfin le pôle Universitaire Léonard de Vinci est situé à Courbevoie
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2007, le revenu fiscal médian par ménage était de 26 297 €, ce qui plaçait Courbevoie au 361e rang parmi les 3 0714 communes de plus de 50 ménages en métropole.
Emploi
Nombre d’emplois dans la zone : 98 377
Atcifs ayant un emploi : 73,6%
Taux de Chômage : 7,4%
Elèves et étudiants : 10,1%
Retraités : 4,1%
Autres inactifs : 4,9%
Entreprises
Au 1er javier 2010, il y avait 6 700 entreprises, majoritairement dans les domaines du commerce, des transports et des services (77,6%)
1 383 entreprises créées en 2010
Patrimoine culturel
• Pavillon des Indes, Parc de Bécon
• Pavillon de la Suède et de la Norvège
• Musée Roybet Fould, 178 boulevard Saint-Denis
• Musée du régiment cosaque de la garde de Sa Majesté l’Empereur de Russie, 12 bis rue Saint-Guillaume
• Mémorial du retour des cendres de Napoléon Ier où furent débarquées le 15 décembre 1840 les cendres de l’Empereur.
Courbevoie a servi de décors à de nombreux films.
• 1951 – Deux sous de Violettes (Jean Anouilh) dans l’impasse menant à l’ancienne crèche.
• 1951 : Pas de vacances pour Monsieur le Maire de Maurice Labro
• 1969 : Elle boit pas, elle fume pas, elle drague pas, mais… elle cause ! de Michel Audiard
• 1970 : Le Chat de Pierre Granier-Deferre (rue Louis-Blanc, place Victor-Hugo, impasse Dupuis)
• 1975 : Peur sur la ville d’Henri Verneuil (Tour Les Poissons, place Charras)
• 1975 – Les vécés étaient fermés de l’intérieur (Patrice Lecomte) rue de Strasbourg et rue d’Essling
• 1975 – Les oeufs brouillés (Joël Santoni) Salle des mariages de la Mairie
• 1977 – Cet obscur objet du désir (Luis Bunuel) rue Louis Blanc
• 1979 : I… comme Icare d’Henri Verneuil (viaduc Gambetta, tunnel sous le pont de Neuilly, Tour Fiat et place de la Coupole)
• 1988 : Il y a maldonne de John Berry (tour UAP, quartier de La Défense)
• 1989 : Gisèle Kérozène de Jan Kounen
• 2003 : Tais-toi ! de Francis Veber (boulevard de la Paix)
• 2007 : Les Vacances de Mr. Bean de Steve Bendelack (parvis de La Défense)
• 2007 : Nos amis les Terriens de Bernard Werber (quartier de la Défense : tours Coeur Défense, Areva et Total)
• 2007 : 99 francs de Jan Kounen (quartier de la Défense : Coeur Défense, Tour Égée)
• 2008 : La Personne aux deux personnes avec Alain Chabat (quartier esplanade de la Défense, La Défense)
• 2008 : 15 ans et demi (lycée Paul-Lapie)
• 2010 : Tout ce qui brille de Géraldine Nakache et Hervé Mimran (Esplanade Mona-Lisa)
Vie militaire
Unités ayant tenu garnison à Courbevoie :
• 5e Régiment d’Infanterie, 1929 – 1940
Personnalités liées à la commune
Acteurs, comédiens, metteurs en scène, …
• Arletty (Léonie Bathiat) (1898-1992), actrice, née à Courbevoie.
• Michel Blanc (1952), acteur, né à Courbevoie.
• Louis de Funès (1914-1983), né à Courbevoie.
• Jean-Pierre Darroussin 1953), acteur, né à Courbevoie.
• Maurice Labro (1910-1987), réalisateur, né à Courbevoie.
• Germaine Delbat (1904-1988), actrice, née à Courbevoie.
• Didier Bénureau (1956), acteur, né à Courbevoie.
Chanteurs, danseurs, musiciens, …
• Michel Delpech (1946), chanteur, né à Courbevoie. Le café de la chanson Chez Laurette était situé rue de l’Alma.
• Louis-Alexandre Mérante (1828-1887), danseur et chorégraphe, mort à Courbevoie.
• Jean-Claude Vannier (1943), auteur-compositeur-interprète, né à Courbevoie.
Écrivains, dessinateurs, historiens, photographe, …
• Céline (Louis-Ferdinand Destouches) (1894-1961), écrivain, né à Courbevoie.
• Jacques Henri Lartigue (1894-1986), photographe, né à Courbevoie.
• Georges Limbour (1900-1970), écrivain et poète, né à Courbevoie.
• André Glory (1906-1966), abbé et archéologue, né à Courbevoie.
• Voutch (1958), dessinateur, né à Courbevoie.
• Jean-Blaise Djian (1953), scénariste de bandes-dessinées, né à Courbevoie.
Politiques
• Marc Blondel (1938), syndicaliste, né à Courbevoie.
• Olivier Jardé (1953), homme politique, né à Courbevoie.
• Pierre Lagaillarde (1931), militant de l’Algérie française, né à Courbevoie.
• Michel Rocard (1930), homme politique, né à Courbevoie.
Sportifs
• Robert Sénéchal (1892-1965), industriel, pilote de course automobile et aviateur français propriétaire d’une usine rue Louis Blanc.
• Philippe Candeloro (1972), patineur artistique, né à Courbevoie.
• Stanick Jeannette (1977), patineur artistique, né à Courbevoie.
• Guillaume Lacour (1980), footballeur, né à Courbevoie.
• Nassim Akrour (1974), footballeur, né à Courbevoie.
• William Rémy (1991), , né à Courbevoie.
Militaires
• Pierre Boucher (1772-1831), colonel du Premier Empire, né à Courbevoie.
Héraldique, logotype et devise
Un délibération du conseil municipal du 13 mars 1990 en donne cette description : À l’écu antique de France portant d’azur qui est bleu de France fabriqué autrefois à Courbevoie en 1837. Au pont courbe à trois arches d’or maçonné de sable sur une rivière d’argent ombrée d’azur qui est du pont de Courbevoie. Au chef de gueules, à la tente d’argent qui est ville de garnison accompagné de deux ceps grappés d’or, souvenir du pays autrefois vignoble. L’écu posé sur un cartouche est accompagné à dextre et à sénestre de branches de chênes fruités au naturel (emblème de la force et arme du peuple) et d’olivier fruité au naturel (emblème de la paix et du travail). Les deux branches nouées aux couleurs tricolores de la France. La couronne murale à quatre tours représente le symbole d’une ville de deuxième classe..
Bibliographie
Claude Bourgeois
Paru le 1 septembre 1996
Editeur : Alan Sutton
Collection : Mémoire en images
ISBN : 2-84253-007-1
EAN : 9782842530075
128 pages
Claude Bourgeois
Paru le 1 septembre 1997
Editeur : Alan Sutton
Collection : Mémoire en images
ISBN : 2-84253-096-9
EAN : 9782842530969
128 pages
Les trois guides édités par la Mairie de Courbevoie
N°ISBN :978-2-9527782-1-3
N°ISBN :978-2-9527782-2-0
N°ISBN :978-2-9527782-0-6
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On peut dire que la citation latine de Curvia Via (voie courbe) viendrait des Romains à l’Antiquité, durant le début de leur occupation. Car en fait, au Ier siècle après JC : Courbevoie n’existait pas et il y a même pas un hameau, c’était une forêt épaisse qui partait de l’autre côté de la Seine en passant par puteaux, La Garenne Colombes en direction des Yvelines. Sauf Nanterre qui existait et était un village. Les Romains avaient tracés des routes pavées : rue de l’Abreuvoir, place Victor Hugo, rue Victor Hugo, rue de l’Hôtel de Ville, place Hérold, rue Jean-Pierre Timbaud puis direction la Garenne Colombes. Si vous dessinez ce tracé, vous allez vous apercevoir que c’est une route courbée.
La caserne construite sous Louis XV devint la caserne Charras, par contre le château que vous faites référence : il y avait le château de Bécon (en contre-bas du parc de Bécon), le château des Colonnes (emplacement du groupe scolaire Alfred de Vigny/Paul Lapie, le château il me semble de la Belle Geneviève (se situant dans le bas de la rue de la Montagne) et un autre château, situé près des quais (emplacement du restaurant des Feuillantines, les Damiers).
Quel est le château dont vous faites référence datant sous Louis XV ?
Important : en 1789, Louis XVI décida la construction d’une église à Courbevoie : l’église Saint Pierre Saint Paul ou les travaux commencèrent en 1790 (à noter elle fait partie des quelques églises construites sous la Révolution française même si cette époque est marquée, par la volonté d’abolir la religion ,destruction d’églises, de couvents, déportation de prêtres etc).
Concernant les vignes, à la fin du XIXe siècle : Courbevoie était avant tout une ville industrielle, il restait des vignes, mais peu dont les derniers vignerons cessèrent au début du XXe siècle (situés rue de Colombes). Il restait une ferme (emplacement rue Michael Winburn) et des champs cultivés boulevard Aristide Briand et rue Lambretch qui disparurent au courant des années 30 par l’aménagement de ce boulevard Aristide Briand avec destruction du château des Colonnes pour y bâtir le groupe scolaire, le fameux cynodrome (aujourd’hui le stade), la poste principale, le dispensaire Michael Winburn venant d’un richissime Américain dont sa veuve le fit construire).
Sans oublier que le 15 décembre 1940, soit 100 ans après le transfert des cendres de Napoléon 1er, furent transportés d’Autriche, de Vienne (qui faisait partie à ce moment là depuis 1938 de l’Allemagne, dont du IIIe Reich) les cendres de l’Aiglon (unique fils de Napoléon 1er) qui était roi de Rome, en passant devant le Mémorial Napoléon 1er pour aller en direction des Invalides, sous décision d’Hitler. (fait historique connu)
La Seconde Guerre mondiale, Courbevoie est victime de bombardements soit, mais il faut préciser par les Alliés surtout les Américains par l’US Air Force dont notamment le 15 septembre 1943 et le 30 ou 31 décembre 1943. (d’ailleurs plaque commémorative à l’entrée du lycée Paul Lapie de ce bombardement de l’US Air Force du 15 septembre 1943 qui commença à 19h00 d’où une jeune fille de 20 ans du nom de Nathalie Nokovitch fut tuée et qui fait partie de La Défense Passive). J’ai beaucoup de témoignages sur ces bombardements des Alliés et sur l’Occupation.
super mais il faudrait nommer le rugby club courbevoie en fédérale 2/3 c’est quand même un endroit ou on trouve du beau rugby mais aussi les salles d’entrainement du club d’aviron, un terrain de foot, une salle de karaté, le cross du club de VTT etc…
bâ connaissant la vraie histoire de Courbevoie vous oubliez l’essentiel. A revoir le film « le chat » et Courbevoie devenue la Défense, cherchez l’erreur de ce petit peuple exproprié. J’en connais les souffrances
Il n’y a pas de vraie ou de fausse Histoire de Courbevoie, il n’y a qu’une Histoire. Courbevoie n’est pas devenue la Défense, mais le quartier d’affaire a été installé notamment sur quelques quartiers de Courbevoie. Ce n’est pas l’essentiel de l’Histoire de notre ville, mais je suis d’accord avec vous, cela fait partie de son Histoire. Je rajouterai un paragraphe sur le construction de la Défense sans omettre de parler des expropriations.
Beaucoup trop court, encore merci pour ce plaisir passe sur votre page.
Votre liste de films n’est pas exhaustive . Est-ce un choix délibéré ?
Non, elle ne demande qu’à être complétée.
Merci pour ce texte ….un ancien nostalgique , habitant lˋimpasse dupuis
Je cherche désespérément une ancienne photographie des bâtiments de l’ancienne école élémentaire Armand Sylvestre à Bécon les Bruyères située au numéro 186 que j’ai fréquenté de 1971 à 1978 (classes CM1 et CM2 de madame MANGION années 1977-78). Malheureusement ces bâtiments ont été démolis et remplacés par les actuels dans les années 90. Si une personne a une photo merci de me contacter.